jeudi 10 mars 2011

Lettre

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Les 20 et 27 mars, nous élirons le conseiller général chargé de nous représenter jusqu’en 2014 au sein de l’assemblée départementale. Cette élection représente un enjeu particulièrement important pour notre avenir et celui de nos enfants.

Maire du 6e arrondissement, j’ai décidé d’être candidat car la complémentarité de ce mandat avec celui de Maire est très grande, que ma connaissance, ma présence et mon engagement au service de notre canton est ancien et fort, enfin parce que j’ai la volonté de porter haut et fort la parole d’une droite libre et indépendante.

Jeunesse, personnes en activité ou demandeurs d’emploi, service des pompiers, personnes en difficultés, âgées, ou handicapées le Conseil Général est en effet au coeur de notre vie quotidienne quel que soit notre âge. Je vous invite à retrouver au verso de cette lettre nos principales propositions concrètes dans ces domaines.

Le Conseiller Général, élu de proximité, se doit d’être présent sur un terrain qu’il connaît bien. Pour ma part, habitant du 6e depuis 42 ans, élu depuis 1989, Maire depuis 2008, je connais tout ce qui fait la vie de notre canton : commerçants, entreprises, associations, logements, habitants. N’ayant pas d’obligations professionnelles ou d’autre mandat à exercer à Paris, je m’investis pleinement dans la vie d’un arrondissement que j’aime passionnément et pour lequel je veux le meilleur.

Alors que 81% des Français ne font pas confiance aux partis politiques, je me présente à votre suffrage libre de toute attache partisane. Lié aux seuls habitants de notre canton, je serai à votre service et n’aurai d’autre objectif que de défendre l’intérêt général durant la totalité de mon mandat. Aucun état major parisien ne me dictera ce qu’il est bon de faire dans un quartier qu’il ne connaît pas !

Les élections cantonales se jouent en deux tours. Je suis candidat pour que vous disposiez d’un vrai choix au premier tour.
Alors, pour que la voix d’une droite libre et indépendante porte, pour que la proximité et l’écoute en politique reprennent leurs places, pour que le choix de l’intérêt général prime sur les intérêts partisans et autres stratégies politiciennes, nous vous donnons rendez-vous le 20 mars dans les bureaux de vote !

En toute confiance, je vous prie de croire, Madame, Mademoiselle, Monsieur, en mes sentiments les plus cordiaux et dévoués.

Jean-Jacques David

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